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Alcool au volant : quelle prévention ?

Les bénévoles de l'Association Auvergnate de l'association Non à la drogue, oui à la vie poursuivent leurs actions de prévent...


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jeudi 26 janvier 2012

Toutes les habitudes ne sont pas bonnes à prendre






Les statistiques récentes fournies par la Préfecture montrent que dans le Puy de Dôme " l’alcool est l’une des principales causes de mortalité dans les accidents de la circulation, présent dans plus de la moitié (58,7%) des accidents mortels survenus la nuit".
source : newsauvergne.com http://www.newsauvergne.com/actu_print.php?id=2879
Opération discothèque pour le préfet de région- newsAuvergne


Il y a effectivement une vraie situation en Auvergne et les bénévoles ont de plus en plus de demandes sur les stands pour avoir des brochures sur l'alcool pour faire de la prévention. Ces brochures sont actuellement disponibles en téléchargement gratuit sur le site nonaladrogue.org ou vous pouvez également les commander en quantité désirée.
http://fr.drugfreeworld.org/download.html
https://secure.drugfreeworld.org/fr/store/products/truth-about-drugs-booklet.html


L’enquête récente de l'INSERM auprès des 11-19 ans de huit régions "place l’Auvergne en tête pour
les consommations d’alcool et de tabac chez les jeunes. L’Académie de Clermont-Ferrand détient le triste record pour la consommation d’alcool chez les jeunes. La consommation touche tous les milieux sociaux."
.......
"Une mortalité forte pour l’ensemble de la population et chez les jeunes
D’après l’Inserm, les indices comparatifs de mortalité auvergnats par cirrhose et psychose alcoolique sont supérieurs, chez les hommes, aux indices français (149,5 contre 100). Pour les femmes il est inférieur (89).
........
En Auvergne, les décès liés à l’alcool représentent 60% des décès chez les hommes."


sources http://auvergne.sante.gouv.fr/sante/santauve/index.htm 
La santé des Auvergnats - DDASS DRASS Auvergne




l'Inserm dit ensuite qu "'il faut discerner la consommation modérée d'alcool", sans définir ce que modéré veut dire mais qui est considéré comme un "comportement habituel",  "de l'alcoolisme qui en est la déviation pathologique". Si l'on poursuit la lecture l'INSERM énumère les 3 comportements de consommation à risque qu'il faut diagnostiquer avent tout traitement : "les buveurs excessif", "les dépendants", "les impulsifs".


Mais la conclusion que l'on devrait en tirer c'est que si l'on doit traiter à ce niveau là c'est que l'on a échoué en amont


Le problème vient déjà de la consommation dite habituelle d'alcool qui est devenu une telle habitude de société de boire son petit verre à midi est normal. C'est celui qui ne le boit pas qui apparaît comme bizarre et hors norme (expérience vécue). Il faut presque prétexter de suivre un régime ou d'être malade pour ne pas avoir l'air stupide à table. C'est quand même le monde à l'envers. Une habitude est justement quelque mécanisme automatique que l'on à mis en route et que l'on ne questionne plus. Dès lors que le comportement devient "habituel" l'on devrait justement le remettre en question. Cela ne signifie pas non plus une complète abstinence mais une pleine conscience de ce que l'on fait. Une pleine conscience passe par une pleine connaissance et donc être pleinement informé.


C'est la campagne que mène L'association Non à la drogue Oui à la Vie depuis plus de 20 ans. La Fondation pour un Monde sans Drogue fournit des matériaux éducatifs, des livrets, des témoignages vidéos, des leçons pour les enseignants.


Le clip vidéo ci-dessus est l'un des clips de la campagne "ils ont dit.... ils ont menti"

Consultez nos sites de prévention locaux www.nonaladrogue-auvergne.blogspot.com ou www.cestquoiladrogue.fr pour connaître les activités et demander des renseignements.





jeudi 19 janvier 2012

Légalisation du Cannabis : un non sens




Ils ont dit que l'herbe ne rendait pas camé .... Ils ont menti


Cette petite video est un des clips video de la série "ils ont dit ... ils ont menti  réalisé par la fondation pour un monde sans drogue qui a pris le parti de l'éducation pour résoudre le problème de la drogue. Le site de la fondation Internationale pour un monde sans drogue existe en français à l'adresse http://fr.drugfreeworld.org

Que vous soyez parent, éducateur ou jeune en recherche de réponses et de solutions pour vous-même ou pour aider un proche, vous trouverez sur ce site de nombreuses ressources téléchargeables http://fr.drugfreeworld.org/download.html


L'idée est de les rendre disponible au plus grand nombre. 


Ces ressources comprennent la série des 13 livrets sur les drogues, y compris l'alcool et les anti-douleurs, les clip video "ils ont dit, ils ont menti", et tous les chapitres du documentaire "Des personnes réelles – Des histoires vraies" qui regroupe les témoignages de 200 personnes qui ont vécu l'enfer de la drogue et nous font part de leur expérience.

D'après la dernière enquête d'ESCAPAD la consommation d'alcool et de tabac qui sont des "drogues" parfaitement légales est en hausse chez les jeunes. Comment peut -on penser à moins d'être stupide ou à la solde d'intérêts privés que la légalisation est une solution pour le problème de la drogue. La solution est ailleurs dans l'éducation. Partout ou cette campagne est utilisée les résultats sont au rendez-vous.



Pour obtenir davantage d’information sur les actions de l’association

ou pour télécharger ou obtenir gratuitement ses publications, visitez le site
internet :www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au  06 20 51 17 57      
info.drogue@gmail.com ou http://cestquoiladrogue.fr

Consultez nos sites de prévention locaux www.nonaladrogue-auvergne.blogspot.com ou www.cestquoiladrogue.fr pour connaître les activités et demander des renseignements.

mercredi 18 janvier 2012

Légalisation - La vérité est ailleurs


Une étude réalisée par le magazine aufeminin.com en décembre 2011 montre que 64% des personnes interrogées sont contre la légalisation du cannabis, soit deux personnes interrogées sur trois. (Cette enquête européenne a été réalisée en ligne, entre le 15 septembre et le 6 octobre derniers, auprès de 3.156 sondés en France, Espagne, Italie et Allemagne.)

Entre les partisans du tout répressif et ceux de la légalisation il n'existe pas de compromis ou de juste milieu acceptable. Les deux conduisent le toxicomane et la société dans le mur c'est à dire vers la fameuse politique de "réduction des risques". A long terme, même si cela semble règler le problème parce que le toxicomane se retrouve en prison ou en institution psychiatriaque pendant un certain temps, cela  représente un coût non négligeable pour la société et pour le toxicomane cela signifie une obligation de "soin", c'est à dire l'obligation de consommer des drogues de substitution, l'obligation d'être drogué à vie avec toutes les conséquences pour la santé et non une véritable réhabilitation et réinsertion dans la société. 


Les seuls à qui cela profite sont les laboratoires fabriquant ces drogues de substitution que sont la méthadone et le subbutex.


On veut nous faire croire qu'il n'y a pas de solutions ! 


Pourtant il existe des programmes de réhabilitation efficaces comme le programme Narconon (nos voisins italiens et espagnols en profitent déjà) et des programmes d'éducation qui fonctionnent comme celui de la fondation Internationale pour un monde sans drogue auquel "Non à la Drogue, Oui à la Vie " est associé.

Cette enquête montre encore que près de la moitié des Européens (45%) pense que les ados consomment des drogues "par pur mimétisme social", contre 30% qui estiment que c'est pour le côté festif, et 20% à cause d'un mal-être.


L'éducation est tout à fait à même de venir à bout de la majorité des raisons qui poussent un jeune à consommer des drogues et il ne suffit pas de faire cette éducation en direction des addos, comme le pointe du doigt cette même enquête (A peine 3% des Européens des affirment que les campagnes de prévention contre la drogue à destination des adolescents sont véritablement efficaces), mais aussi des enfants plus jeunes, si possible avant le collège et également, c'est très important, des parents.


Nous avons eu à plusieurs reprises quand nous faisons de l'information sur le terrain, des parents qui nous disent, mon fils ou ma fille en sait plus que moi sur les drogues ! Pourtant, par enquête auprès des jeunes l'on sait que l'influence des parents est très importante en ce qui concerne l'éducation même si les parents n'en sont pas forcément conscients et cette influence est d'autant plus importante qu'elle se produit tôt, dès que l'enfant est à même de comprendre les notions impliquées.

C'est pourquoi notre association persiste à travailler en direction de la prévention, la prévention par l'éducation qui permet à toute personne de prendre une décision en connaissance de cause.



Comme le rappelle le président de l’association « Non à la drogue, oui à la 
vie » Robert Galibert :


"Les discours moralisateurs, les discours qui font peur ou les interdictions
ne servent à rien. Tout leur permettre et fermer les yeux, en se disant que
c’est l’adolescence, que c’est un passage obligatoire, c’est encore pire.


Les jeunes doivent apprendre à refuser la drogue de part leur propre choix,
de part leur propre volonté, parce qu’ils ont compris pourquoi elle est
dangereuse et qu’ils ont décidé que leur vie ne sera pas une vie gâchée par
la drogue. »


Si nos enfants échappent aux dangers de la route, c’est parce qu’on leur
apprend à regarder avant de traverser la rue dès leur plus jeune âge. C’est
notre devoir de parent et d’ami de leur enseigner la vérité sur la drogue."


C’est pourquoi la campagne de prévention de l’association « Non à la
drogue, oui à la vie » met l’accent sur l’information.


Elle s’appuie sur le « kit de prévention » qui comprend 13 brochures
factuelles sur les drogues les plus courantes (Cannabis, Héroïne, Cocaïne,
Crack, Ecstasy, LSD, Antidouleurs, Crystal Meth, Ritaline, alcool, drogues
psychotropes prescrites ou drogues par inhalation), ainsi qu’une série de 16
spots vidéo de 30 secondes intitulés« ils ont dit, ils ont menti » et enfin plus
de 200 témoignages vidéo basés sur des expériences authentiques.


L’association « Non à la drogue, Oui à la vie » propose également des
conférences-débats afin d’expliquer très simplement tous les mécanismes
et répondre aux questions.


Pour obtenir davantage d’information sur les actions de l’association
ou pour télécharger ou obtenir gratuitement ses publications, visitez le site
internet :www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au  06 20 51 17 57      
info.drogue@gmail.com ou http://cestquoiladrogue.fr




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