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Alcool au volant : quelle prévention ?

Les bénévoles de l'Association Auvergnate de l'association Non à la drogue, oui à la vie poursuivent leurs actions de prévent...


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dimanche 23 septembre 2012

Le cannabis rend mou du cerveau ?


Le Cannabis rend mou du cerveau ?

Dimanche 23 septembre : nos bénévoles toujours sur le terrain le dimanche matin au marché aux puces de Clermont pour alerter sur les dangers des drogues. 

Ce dimanche plus de 400 livrets ont été distribués aux passants désireux de s'informer sur le danger des drogues. 

Nous rencontrons de plus en plus de personnes qui veulent recevoir le kit éducatif sur les drogues. Educateurs, professeurs, responsable de cabinet de coaching le demandent maintenant, conscients qu'il s'agit d'un outil qui n'a pas son pareil puisque outre les supports audiovisuels et les livrets, les plans de leçon comportent des questions précises sur chacun des livrets afin de vérifier la compréhension des élèves ou étudiants et de s'assurer que toute confusion existante soit dissipée au sujet des drogues.

Le cannabis est un fléau en ce sens qu'il touche les plus jeunes dès le collège et qu'il a selon les mots du journal le Figaro des effets pervers.

Pourquoi pervers ? Le cannabis comme toute drogue est un poison et comme tel, à plus ou moins long terme, détruit l'organisme. Ce qui est pervers c'est principalement l'espèce de permissivité ou de confusion qui sévit dans "l'opinion publique" et la nébuleuse médiatique, parce ce que ce serait soi-disant une drogue "douce". "L'opinion publique" c'est un grand mot employé par certains mass media pour véhiculer des généralités sans avoir à en être responsable. Cependant dans une enquête récente de sondage en France on peut voir qu'une majorité de Français (70 %) sont opposés à une dépénalisation ce qui indique bien qu'ils ont conscience d'une certaine dangerosité. 
http://www.sondages-en-france.fr/sondages/Actualit%C3%A9/Drogues#pq3143

Donc "drogue douce", c'est du pipo comme on dit familièrement

Mais comme le président de l'association Non à la Drogue, Oui à la Vie, Robert Galibert, se plaît à le répéter quand on lui oppose cet argument : "c'est une drogue qui vous tue plus lentement c'est tout".

C'est pourquoi il convient de saluer l'émission de M6 qui met en avant une étude scientifique d'une équipe de chercheurs Néo-Zélandais confirmant sans équivoque la dangerosité de cette drogue tant sur le plan individuel que social. 

En effet le Cannabis, non content de démolir l'organisme contribue grandement à l'échec scolaire par ses effets sur l'intelligence.Les chercheurs ont pu établir une altération du QI de 8% chez les jeunes ayant commencé à consommer dès 13 ans. Une consommation prolongée entraînant des risques cardio-vasculaires augmenté ainsi que le risque non négligeable de finir sa vie chez les fous. En effet, toujours d'après cette étude, la consommation prolongée de cannabis augmente de 40% les possibilités de tomber dans la schizophrénie.

Le livret la vérité sur la drogue établit clairement, comme le confirme cette étude, que les drogues se logent dans les graisses de l'organisme, et donc dans le cerveau qui contient 70 % de phospholipides. La substance active s'accumule dans ces graisses. L'étude démontre que sans conteste la consommation de cannabis a un impact sur le développement du cerveau.

Plus ...

Voir l'article du Figaro sur le Cannabis

http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/magazine/71718/le-cannabis-une-drogue-aux-effets-pervers.html?return=22


L'association fournit gratuitement des livrets sur les drogues les plus courantes ainsi que des kit pédagogiques comprenant des supports et documentaires audio-visuels, de même que des plans de leçons. Pour les enseignants, les éducateurs et les parents, un ensemble éducatif avec des leçons et des supports audio visuels est disponible gratuitement soit en en faisant la demande par courriel soit en téléchargement sur le site  http://fr.drugfreeworld.org/home.html

Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet :www.nonaladrogue.org Contact presse : Robert Galibert au             06 20 51 17 57    



dimanche 16 septembre 2012

Le cannabis modifie la personnalité


Le cannabis modifie la personnalité
Comme depuis plusieurs mois les bénévoles de l'antenne auvergnate de l'association Non à la Drogue Oui à la Vie se sont mobilisés ce dimanche pour distribuer plus de 400 livrets de prévention aux passants.


Les nouveaux livrets La vérité sur l'alcool commencent à avoir du succès de même que ceux sur le cannabis. 

Les études récentes sur le cannabis montrent sans équivoque sa nocivité.

Quelques effets du cannabis énumérés dans le livret la vérité sur le joint :


L'association fournit gratuitement des livrets sur les drogues les plus courantes ainsi que des kit pédagogiques comprenant des supports et documentaires audio-visuels, de même que des plans de leçons. Pour les enseignants, les éducateurs et les parents, un ensemble éducatif avec des leçons et des supports audio visuels est disponible gratuitement soit en en faisant la demande par courriel soit en téléchargement sur le site  http://fr.drugfreeworld.org/home.html

Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet :www.nonaladrogue.org Contact presse : Robert Galibert au             06 20 51 17 57    

dimanche 9 septembre 2012

Quelle sécurité par rapport à la drogue ?


Quelle sécurité par rapport à la drogue ?

Une fois de plus présents dimanche matin au marché aux Puces des Salins, les bénévoles de Non à la Drogue, Oui à la Vie ont distribué près de 300 brochures La vérité sur la drogue aux passants.

La violence et l'insécurité liée au trafic de drogue sont présents dans les esprits à l'heure où l'on parle de Marseille et de St Ouen ainsi que des mesures de sécurité à mettre en place. 

On parle beaucoup de zone de sécurité prioritaire.

Mais qu'est-ce que la sécurité réellement ?

Selon Wikipédia il y a deux définitions à considérer :

Physiquement, la sécurité est l'état d'une situation présentant le minimum de risque
Psychiquement, la sécurité, ou l'état d'esprit d'une personne qui se sent tranquille et confiante. Pour l'individu ou un groupe, c'est le sentiment (bien ou mal fondé) d'être à l'abri de tout danger et risque.

Qu'est-ce ce qui permet à une personne de se sentir en sécurité ?

Souvent lorsque l'on sait évaluer un risque et qu'on le connaît on se sent plus en sécurité que lorsque l'on manque de connaissances à son sujet et que cela crée une incertitude. 

Comme exemple, quelqu'un qui ne connaît rien aux armes à feu, sera craintif en leur présence et sera dangereux si on lui en confie une (même s'il n'a pas d'intention malveillante). Lui-même et les gens autour ne sont pas en sécurité et ne se sentiront pas en sécurité s'ils savent ou perçoivent qu'il n'y connaît rien. On pourrait dire la même chose d'une automobile qui n'est pas un objet dangereux en soit mais qui peut l'être quand mal utilisé par quelqu'un qui n'est pas formé à son utilisation.

On peut examiner la situation inverse et en déduire que la connaissance et la compréhension amènent une certaine certitude et donc de la sécurité. Il suffit d'observer un professionnel dans un domaine pour remarque qu'il a une meilleure maîtrise des objets et des situations que quelqu'un qui débute. On a aussi le sentiment de se sentir plus en sécurité avec lui. Ce sentiment de sécurité s'étend à l'environnement qui perçoit cela.


Quelle sécurité en matière de drogue ?


L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie part du principe que la meilleure sécurité en matière de drogue s'obtient par l'éducation au sujet de la drogue. Une véritable compréhension des dangers auxquels on s'expose en consommant ces substances dangereuses permet à la personne d'acquérir une certitude et suffit à empêcher qu'elle ne commence à en prendre. Si une majorité de personnes, parents, enseignants, éducateurs, amis avaient ces connaissances et cette compréhension, la certitude ferait tâche d'huile et contrebalancerait l'incertitude habilement suscitée dans les média sur le thème de la dépénalisation, voire de la légalisation de certaines substances.

Cela contrebalancerait également les effets de mode et ferait disparaître la pression du groupe qui est souvent à l'origine des premières prises (pour être cool, dans le ton, ne pas se sentir différent des autres, pas au jus, etc.)

Connaissance et compréhension =  demande et trafic en baisse = sécurité

C'est une équation qui peut sembler simpliste mais pourtant ce sont souvent les choses simples qui ont le plus de bon sens. 

L'association fournit gratuitement des livrets sur les drogues les plus courantes ainsi que des kit pédagogiques comprenant des supports et documentaires audio-visuels, de même que des plans de leçons. Pour les enseignants, les éducateurs et les parents, un ensemble éducatif avec des leçons et des supports audio visuels est disponible gratuitement soit en en faisant la demande par courriel soit en téléchargement sur le site  http://fr.drugfreeworld.org/home.html

Si vous voulez de la sécurité, essayez-les !

Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet :www.nonaladrogue.org Contact presse : Robert Galibert au             06 20 51 17 57    

dimanche 2 septembre 2012

Apprendre à se droguer proprement ?


Apprendre à se droguer proprement ?

Régulièrement le débat sur les salles de shoot ou la politique de réduction des risques comme on l'appelle, est relancé et comme d'habitude aucune décision sensée ne vient clore ce débat comme si on ne voulait pas considérer ce sujet comme quelque chose qui peut être résolu. 

Comme pour tout problème le tout est de savoir quel but on cherche à atteindre et ensuite poser la ou les bonnes bonnes questions qui vont aider à la résolution du problème. Tant qu'on reste dans le passionnel et les émotions, et les opinions on ne peut pas trouver de solution.

On sait depuis un certain nombre d'années que la salle de shoot n'est qu'un pis aller, un substitut de solution mais pas une solution car cela ne règle pas définitivement le problème, ni pour le toxicomane qui passe d'une drogue à une autre mais légale et qui y reste accro toute sa vie, ni pour la société qui paie très cher les structures et les "soins". 

Il faut savoir que ces produits (Méthadone ou Subbutex) sont eux-mêmes de dérivés de l'opium et de l'héroïne. On comprend donc que ces produits ne soignent pas véritablement. Au mieux ils ne sont qu'un paliatif et même, d'après les témoignages recueillis régulièrement sur les stands, les produits de substitution telle la méthadone sont beaucoup plus difficile à sevrer et font plus de mal que de bien. On entend dire fréquemment "c'est de la merde".

Bien sûr une politique généralisée de salle de shoot profiterait une fois de plus aux labos pharmaceutiques qui fabriquent ces produits et dont les lobbies travaillent dur auprès des politiciens et non pas aux toxicomanes, ni à la société en général. De plus cela donne une espèce de légitimité au fait de se droguer, comme si on pouvait se droguer sans risque.

Cela donne juste bonne conscience à certains car ainsi on camoufle le problème, on ne le voit plus dans la rue. Mais cela s'appelle la politique de l'autruche.

Une politique sensée partirait du principe qu'il existe une solution véritable et ferait deux choses :

- Elle rechercherait et trouverait les programmes de sevrage et de réhabilitation efficaces qui existent déjà dans certains pays du monde (on peut même suggérer des adresses) qui traitent réellement le problème à la base de celui-ci. Ce sont des programmes qui s'occupent des causes et non pas uniquement des effets et c'est pour cela qu'ils fonctionnent.

- Elle entreprendrait un programme de prévention efficace auprès des scolaires dès le collège, voire la fin du primaire avec le concours des parents qui doivent eu-même être informés là ou cela est possible.

Qu'est-ce qu'un programme de prévention efficace  ferait ?

Un programme de prévention efficace serait un programme utilisant des faits au sujet des dangers des drogues, des témoignages et des documentaires vidéo et qui vérifierait la compréhension des élèves avec des questions choisies et demandant leur participation active. 

Il aurait pour résultat la compréhension véritable des élèves sur le sujet des drogues et entraînerait une diminution importante et durable de la demande.

Un tel programme existe, subventionné par la fondation pour un monde sans drogue.

Découvrez-le à : http://fr.drugfreeworld.org/takeaction.html

Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au 06 20 51 17 57    


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