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Alcool au volant : quelle prévention ?

Les bénévoles de l'Association Auvergnate de l'association Non à la drogue, oui à la vie poursuivent leurs actions de prévent...


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dimanche 25 novembre 2012

Drogues : une lutte perdue d'avance ?

Drogues : une lutte perdue d'avance ?


Telle est la question que bon nombre de nos concitoyens ne se posent même plus tant l'apathie est grande dans ce domaine. 

Les encouragements pour nos actions ne manquent pas à notre stand mais l'on ressent plutôt de la part des passants avec qui nous discutons, le genre d'admiration que l'on peut éprouver devant quelqu'un qui ose s'attaquer à une tâche comparable aux douze travaux d'Hercules. Certains nous disent ouvertement que ce n'est pas une lutte que l'on peut gagner. 


Question de point de vue ?

Ils ont en partie raison mais pas tout à fait. Il s'agit d'une question de point de vue et de comment on s'y prend.

En effet dans l'état actuel des choses, on ne peut pas leur donner tout à fait tort car il est vrai que l'on à l'impression, malgré le très bon travail de la police, que plus on arrête de trafiquants et plus on fait de saisies, plus il y en a. Cela ne s'arrête jamais. 

On est aussi submergé d'informations sur les nouvelles drogues de synthèse. "De toutes façon si on cible et élimine certaines drogues ils vont en inventer d'autres".

Le telegram.com faisait état de "49 nouvelles substances de synthèse détectées en 2012 par le système d'alerte précoce européen (EWS) et déjà plus de 50 l'ont été en 2012."


Que faire devant une telle avalanche ?

Il y a plusieurs manières de traiter un problème. Un problème si on y regarde bien c'est en substance une force contre une autre force, une décision contre une autre décision. On voit tout de suite qu'opposer une force de taille comparable n'amènera pas de solution mais contribuera à figer le problème. 

Si on analyse davantage la chose on verra que l'on commence généralement par réagir en luttant contre ce qui nous pose problème, force contre force. On essaie de l'empêcher de s'agrandir et on exerce une répression à son encontre. Mais dans un rapport de force, seule compte la force exercée et le nombre. 

On peut observer que face à une force trop grande, à quelque chose qui se déplace trop vite ou à une trop grande quantité de choses qui arrivent en même temps on peut se sentir submergé, débordé et confus, ne sachant quelle solution adopter, quelle décision prendre et finalement n'en prenant aucune. Cela s'appelle de l'apathie. On se laisse envahir par ce qu'on avait commencé à combattre. Mais la cause du problème est toujours là.

Pour résumerlorsque l'on est submergé par le nombre ou la force de l'adversaire si l'on est courageux on continue à se battre mais pas avec la même ardeur et plus le temps passe plus on sombre dans l'apathie. Ceci nous amène au débat actuel sur la  légalisation/dépénalisation qui est un abandon de la responsabilité devant l'inévitable (A quoi bon lutter contre ce qu'on est incapable d'empêcher) et l'on se résout à mettre des salles de shoot à disposition des toxicomanes pour qu'ils se "droguent proprement".

L'on peut certes se complaire dans le catastrophisme, devant l'ampleur des dégâts réels et potentiels et baisser les bras, mais on peut aussi choisir de prendre un autre point de vue et comprendre que tout problème a sa solution.

Au lieu de réagir émotionellement il convient plutôt d'analyser le problème et trouver le vrai point de décision. Certains, trop peu nombreux, l'ont fait et les solutions trouvées n'ont pas été mises en place avec assez de vigueur.


Quel est le vrai point de décision ?

Le vrai point de décision est le consommateur.

Ce qui est vrai pour les autres types de consommation est vrai pour la drogue également.

De la même manière que les publicitaires travaillent à faire consommer on peut également travailler à ne pas faire consommer. Certaines campagnes gouvernementales ont utilisé cela dans leurs campagnes de prévention sous forme de slogans dont certains étaient très bien d'ailleurs.

Mais des slogans qui frappent ne sont malheureusement pas suffisants pour régler le problème.

En effet de la même manière qu'un consommateur averti et éduqué n'achètera pas n'importe quel produit quelque soit la publicité et l'arsenal de marketing déployé, un jeune correctement éduqué sur les drogues pourra faire un choix éclairé (et pas de mauvais esprit s'il vous plaît, il ne s'agit pas de choisir la bonne dope). Il pourra décider en conscience s'il veut être libre sans drogue ou devenir esclave en consommant des drogues.

C'est en ces termes que se pose le problème et la réponse doit être donnée par chaque individu mais il ne peut le faire que s'il connaît toutes les données du problème.
Il peut ainsi réellement décider en son âme et conscience si le jeu en vaut la chandelle, si quelques heures de bonheur artificiel vaut plusieurs années de galère et de souffrance.


Quel est le facteur clé de la prévention ?

Donc le facteur clé de la prévention ne sont pas les slogans chocs, c'est l'éducation en profondeur. (Les slogans sont le plus pour intéresser au message éducatif, c'est tout).

Un autre aspect du problème toujours dans le volet éducation c'est de faire comprendre aux consommateurs potentiels qu'il existe d'autres moyens plus sains d'éprouver du bonheur. Mais cela est un aspect qui se trouve dans le domaine de la morale et ce n'est pas le sujet traité par la campagne Non à la drogue, Oui à la Vie. Cela est du ressort des leaders d'opinion de la société civile et des leaders religieux de travailler sur une vision commune de la future société. Que veut-on comme société pour demain, pour nous et pour nous enfants ? 

La campagne de prévention de la Fondation pour un monde sans drogue ne fournit pas de jugement moral. Elle fournit les informations pour permettre aux individus de faire leur choix librement avec les livrets d'information et les documentaires vidéos. Des kit avec  plans de leçon et tous les supports audiovisuels sont également disponibles gratuitement pour les éducateurs et professeurs ainsi que pour les forces de l'ordre travaillant dans l'éducation au sujet des drogues

Ces supports sont téléchargeables ou peuvent êtres commandés sur le site de la fondation pour un monde sans drogue http://fr.drugfreeworld.org/home.html
Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org Contact presse : Robert Galibert au             06 20 51 17 57    


dimanche 18 novembre 2012

Drogue - Répression ou Prévention ?


Répression ou Prévention

"Les deux mon général !" serait-on tenté de répondre. Mais pas avec la même proportion.

C'est une décision de la Cour de Cassation condamnant la conduite sous l'emprise de drogue quelle que soit la  quantité trouvée dans le sang qui a attiré mon attention récemment. Cette décision du 3 octobre 2012 casse un jugement en appel qui avait relaxé un conducteur parce que le taux de cannabis relevé dans son sang était très faible lors des analyses.

Pourquoi cette décision ?


Article de l'AFP :
Pour les drogues au volant, aucun taux n'est toléré


Par AFP le 26/10/12

A la différence de l'alcool, il n'y a pas de taux toléré au volant pour les drogues et la Cour de cassation juge que toute trace de drogue dans le sang d'un conducteur justifie sa condamnation.
Le conducteur encourt deux ans d'emprisonnement et 4.500 euros d'amende ainsi que des peines annexes comme la suspension ou l'annulation du permis, l'interdiction de conduire certains véhicules ou encore l'obligation de faire un stage de sécurité.
Le code de la route ne mentionne pas de taux pour les drogues. Il interdit purement et simplement la conduite à toute personne dont l'analyse sanguine démontre qu'elle a fait usage de produits stupéfiants.
Le conducteur encourt donc les peines prévues dès lors qu'il a consommé un tel produit et ni son état au moment du contrôle, ni l'ancienneté de la consommation ne changent rien.
La Cour de cassation a donc donné tort à une cour d'appel qui avait relaxé un conducteur parce que le taux de cannabis trouvé dans son sang était infime et donc sans influence sur son comportement. Il est interdit de conduire un véhicule après avoir fait usage de stupéfiants, dit-elle.
(Cass. Crim, 3.10.2012, N° 5690).



C'est effectivement une décision courageuse et qui révèle une véritable compréhension du problème. 

Contrairement à certaines personnes mal informées qui pensent que si l'on a seulement quelques traces dans le sang, alors on n'est plus sous l'influence de la drogue, la Cours de Cassation a pris la véritable mesure de l'influence de la drogue sur le psychisme.

Il ne faut surtout pas méconnaître le mode d'action des drogues dans l'organisme. 

Pour comprendre lire notre article précédent :

http://nonaladrogue-auvergne.blogspot.fr/2012/11/le-cannabis-tue-un-fait-scientifique.html



Alors quelle est la solution : répression, prévention et dans quelle proportion?

Si la répression est nécessaire elle ne l'est que pour faire prendre conscience qu'il faut s'informer véritablement avant de pouvoir choisir.

En effet, il est facile d'observer que le fait de prendre de la drogue et de l'alcool a une influence négative non seulement sur la personnes concernée mais également une très grande influence négative sur son entourage et sur la société dans son ensemble. 

Il est évident qu'il faut être un tant soit peu responsable pour être capable d'envisager cette idée qu'en se droguant on se cause à soi-même plus de tort que de bien et que l'on cause du tort aux autres et à la société.

Les lois servent à protéger les individus d'une société et la société de l'irresponsabilité de certains. Lorsque quelqu'un cause des dommages du fait de sa conduite irresponsable la société répond en faisant appliquer ces lois par la justice. On appelle souvent cela de la répression, qui signifie en fait, empêcher quelque chose de se produire. La justice exerce donc une répression à l'encontre des contrevenants.

En fait la répression exercée par la société par l’intermédiaire de l'administration judiciaire sert  à rappeler aux contrevenants qu'il ont une responsabilité envers les autres, la responsabilité qu'ils ont a abandonnée à un moment ou un autre de leur vie et leur demande de reprendre en main cette responsabilité, d'en reprendre le contrôle.

A la base, la responsabilité, la connaissance et le contrôle que vous avez sur votre environnement sont étroitement liés


Lorsque vous savez quelque chose (savoir = certitude, compréhension à propos de quelque chose)  vous devenez responsable de votre savoir et de le contrôler de manière positive. (une personne qui découvre qu'un crime ou un délit va être commis ou que quelqu'un est en danger à la responsabilité de faire quelque chose pour l'empêcher. C'est une notion inscrite dans notre droit.)

Moins vous savez de choses, moins vous pouvez exercer une influence ou un contrôle positifs sur votre environnement et vous-même et  vous êtes également moins capable d'exercer des responsabilités. (ex. un enfant comparé à un adulte). et inversement. On donne d'ailleurs des responsabilités dans un domaine aux gens qui ont le savoir approprié à ce domaine et qui savent exercer une influence ou un contrôle positifs sur leur environnement.

Quelqu'un peut avoir abandonné sa responsabilité à un moment de sa vie où il y avait de la confusion et des incertitudes relatives aux connaissances ou au savoir et il a perdu le contrôle de la situation ou on peut dire aussi que son influence positive sur l'environnement à diminué.

Inversement on peut rendre à quelqu'un le contrôle de sa vie, son influence sur son environnement en isolant les confusions et en rétablissant des connaissances et sa faculté d'être une personne responsable augmentera.

Il manque donc un ingrédient important souvent omis quand on parle de réhabilitation qui est l'éducation.

On peut déduire de cela, que si l'on informe véritablement les gens au sujet des effets des drogues, et qu'ils réalisent la portée de leurs effets sur eux et sur les gens autour d'eux, alors ils deviendront aussi plus responsables et moins de répression sera nécessaire.

En conclusion : proportionnellement les efforts consacrés à la prévention, c'est à dire l'éducation, devraient être bien plus importants que ceux consacrés à la répression et toute répression devrait être assortie d'une éducation.

D'où l'importance d'éduquer les enfants le plus jeune possible des effets des drogues, tâche que s'est donnée l'association non à la drogue Oui à la vie.

Donc Dimanche matin, le stand Non à la Drogue était présent Place des Salins à Clermont-Ferrand où les bénévoles ont distribué environ 400 livrets "la vérité sur la drogue", "la vérité sur l'alcool", "la vérité sur le cannabis" et autres. 

Le responsable du stand raconte : "La semaine dernière deux mères de famille accompagnées de leurs enfants qui sont au collège se sont arrêtées au stand et nous ont dit avoir étudié les livrets "la vérité sur la drogue" soigneusement avec leurs enfants. Elles nous ont rapporté que les enfants avaient adoré les lire parce qu'ils sont simples à comprendre très informatifs et elles voulaient en avoir davantage pour les utiliser. Les enfants étaient d'ailleurs collés au stand et voulaient voir les livrets sur les autres drogues. Les livrets au nombre de 13, sont disponibles au téléchargement sur internet. Mais nous avons un certain nombre de lots complets de livrets disponibles au stand, que nous leur avons remis."

L'association a de plus en plus de personne s'arrêtant au stand et de plus en plus de demandes de ce type.


Vous trouverez les livrets en lecture et en téléchargement sur ce blog ainsi que les clips vidéos qui vont avec.  Vous les trouvez aussi sur le site de la Fondation pour un monde sans drogue  avec les plans de leçon et les vidéos de témoignages vécus accompagnant chaque livret :





Commandez les matériaux qui sont gratuits et étudiez-les puis voyez comment vous pouvez les utiliser autour de vous pour sauver des vies n'en doutez pas. N'hésitez pas à demander conseil si nécessaire.

Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org Contact presse : Robert Galibert au             06 20 51 17 57    


mercredi 14 novembre 2012

Le cannabis tue : un fait scientifique



Le Cannabis TUE : Un fait Scientifique !


Encore un drame lié au cannabis, a Montpellier cette fois-ci ou un jeune a tué un bébé dans un accident de la route. "Pourtant" a-t-il déclaré "il n'avait pas fumé ce jour-là " !

La presse s'interroge : "était-il encore sous l'emprise du cannabis ?



Des faits plutôt que des suppositions 


La réponse est oui sans ambiguïté et on peut s'interroger dans ce contexte de controverse sur la légalisation, pourquoi ne diffuse-t-on pas clairement des informations scientifiques sur le sujet ?


Fait : Le principe actif du Cannabis, le THC est liposoluble. Cela signifie qu'il se mélange parfaitement aux graisses et pas à l'eau.


Fait : l'organisme contient beaucoup de tissus graisseux (lipides) dans lesquels vont allègrement se loger ces substances. Les graisses de réserve bien sûr, les parois des cellules sont faites de lipides, mais il faut savoir que la partie du corps la plus riche en graisse c'est le cerveau (70% de phospholipides). C'est pourquoi lorsqu'on ingère ou que l'on fume une drogue, celle-ci passe dans le sang qui est un milieu aqueux (contenant de l'eau) et la drogue n'aime pas l'eau. Alors une petite partie est éliminée et une grande partie s'incruste dans les différentes parties de l'organisme contenant des lipides ce qui a pour conséquence :

1. De ne pas pouvoir être détecté dans le sang passé 4h en ce qui concerne le THC

2. De rester dans l'organisme ou elles continuent à avoir un effet. 

Fait : on calcule le temps d’élimination d'une substance dans l'organisme avec la notion de  demi-vie, c'est à dire le temps qu'il faut pour la moitié de la substance consommée au départ d'être évacuée de l'organisme.


Fait : en ce qui concerne le cannabis la demi-vie est de 4 à 8 jours, une personne qui fume un joint par semaine n'a pas encore éliminé le premier alors qu'elle prend le suivant....et accumule d'autant plus la substance 
Avec 1 joint tous les 15 jours, on est en imprégnation permanente.

Fait : le relargage est le phénomène qui se produit lorsque des substances psychotropes incrustées dans les graisses de l'organisme sont libérées et repassent dans le sang. Cela est causé lorsque les graisses sont consommées par le corps pour produire de l’énergie comme lors d'un effort intensif ou prolongé.

Pour le cannabis le relargage du produit stocké dans les graisses peut se produire plusieurs années après la dernière prise.

Fait : Les drogues sont des substances qui on un effet psychoactif :
Cela signifie qu'elles altèrent les perceptions et la capacité à penser


Une étude de Gilbert Pépin* montre clairement qu'une personne sous l'emprise du cannabis n'est plus maître de ses perceptions. De ce fait elle réagit de façon inappropriée aux évènements qui se produisent autour d'elle. C'est d'autant plus gênant lorsqu'il est nécessaire de réagir rapidement à une situation, notamment lorsque l'on conduit.



"L’activité de poursuite (contrôle de trajectoire) élément important de la conduite, est une composante psychomotrice qui est facilement altérée par l’effet du cannabis pour une
large gamme de concentrations et sur une assez longue durée [3]. En définitive, de nombreuses fonctions perceptives sollicitées  lors  de  la  conduite  se  détériorent  sous  l’effet  du cannabis."


*Biologiste, docteur en pharmacie, docteur ès Sciences, expert près la Cour d’appel de Paris agréé par la Cour de cassation, expert près le Tribunal administratif de Paris, vice-président de la Compagnie nationale des biologistes experts (CNBE), vice-président de la Société française de toxicologie analytique (SFTA), laboratoire d’expertises Toxlab, 7, rue Jacques-Cartier, 75018 Paris, France


En conclusion une personne qui a pris du cannabis la semaine dernière peut toujours aujourd'hui en avoir des effets. Une personne qui fume un joint par semaine est dangereuse pour elle-même et pour les autres.

Le Cannabis TUE, c'est certain, directement ou indirectement, que ces soit à long terme à cause des effets sur les poumons et les vaisseaux sanguins ou brutalement comme dans le cas de cet accident de la route. 

Informer est VITAL


Il est VITAL d'informer pour mieux faire comprendre les enjeux autour de cette controverse sur la dépénalisation ou sur la légalisation. Ce débat ne devrait même pas avoir lieu. 

On devrait plutôt se concentrer sur les moyens de mieux informer, plus de monde et plus longtemps sur les effets nocifs des drogues comme le fait l'association, Non à la Drogue, Oui à la Vie, en France et partout dans le monde. 

Les bénévoles de l'antenne auvergnate l'ont bien compris et ils étaient présents ce dimanche 11 novembre, comme ils sont présents tous les dimanches, Place des Salins à Clermont-Ferrand pour distribuer des brochures d'information et des plans de leçons accompagnés de documentaires vidéo pour les parents, enseignants et éducateurs.



Vous trouverez les livrets en lecture et en téléchargement sur ce blog ainsi que les clips vidéos qui vont avec.  Vous les trouvez aussi sur le site de la Fondation pour un monde sans drogue  avec les plans de leçon et les vidéos de témoignages vécus accompagnant chaque livret :


Commandez les matériaux qui sont gratuits et étudiez-les puis voyez comment vous pouvez les utiliser autour de vous pour sauver des vies n'en doutez pas. N'hésitez pas à demander conseil si nécessaire.

Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org Contact presse : Robert Galibert au             06 20 51 17 57    




dimanche 4 novembre 2012

Ce que vous ne savez pas peut vous tuer

Info drogue pendant les vacances scolaires

Ce que vous ne savez pas peut vous tuer

Les bénévoles de Non à la Drogue présents sur le terrain pendant les vacances scolaires avaient accru leurs effectifs pour assurer la distribution à une foule nombreuse en ce dimanche 4 novembre.

Plus de 500 livrets "la vérité sur la drogue" ainsi que "la vérité sur l'alcool" ont été distribués aux passants dont beaucoup s'arrêtaient au stand pour prendre les autres titres parmi les 13 livrets disponibles.

Une maman angoissée pour son fils qui a commencé à toucher au cannabis nous a demandé de la documentation. 

D'après les témoignages que nous recevons, la plupart des enfants commencent à prendre du cannabis ou de l'alcool pour faire comme les copains, ou pour faire comme les parents également. Il y a donc un devoir de montrer l'exemple bien sûr, mais aussi un devoir d'informer. "Il est important de commencer très tôt l'éducation sur ce sujet" déclare Nicolas, le responsable de l'antenne locale. 

Certains nous disent : "ce n'est pas pour moi, je ne consomme pas". A ceux-là nous disons qu'ils peuvent influencer leur entourage en donnant un livret. Ne serait-ce que par ce geste on peut sauver une vie de la drogue ! 

Le slogan de la campagne  "Drogue : ce que vous ne savez pas peut vous tuer" illustre bien le fait que l'ignorance peut déboucher sur des drames.

A part les effets direct d'une dégradation de l'organisme et du psychisme il ne faut pas oublier les effets indirects.  Le cannabis au volant, c’est environ 500 morts par an, soit un accident mortel sur huit. En 4 ans, le nombre d’accidents corporels liés au cannabis a augmenté de 40%. 



Vous trouverez les livrets en lecture et en téléchargement sur ce blog ainsi que les clips vidéos qui vont avec.  Vous les trouvez aussi sur le site de la Fondation pour un monde sans drogue  avec les plans de leçon et les vidéos de témoignages vécus accompagnant chaque livret :
http://fr.drugfreeworld.org/takeaction/educators.html


Commandez les matériaux qui sont gratuits et étudiez-les puis voyez comment vous pouvez les utiliser autour de vous pour sauver des vies n'en doutez pas. N'hésitez pas à demander conseil si nécessaire.

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