Sélection du message

Alcool au volant : quelle prévention ?

Les bénévoles de l'Association Auvergnate de l'association Non à la drogue, oui à la vie poursuivent leurs actions de prévent...


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Exposé des motifs


EXPOSÉ DES MOTIFS :

Devant l’explosion de la consommation de cannabis (puis de cocaïne et recrudescence d’héroïne) chez les adolescents, la majorité des pays est confrontée à un « très grave problème de santé publique ». Le premier contact avec cette drogue se produit en moyenne à 13 ans et parfois dès 9 ans ! Les parents restent désemparés devant ce phénomène qui menace la santé et l’avenir de leurs enfants. Et les responsables politiques ont tendance à baisser les bras parce qu’ils ne mesurent pas la gravité des enjeux et finissent par croire les voix leur affirmant « qu’il n’y a rien à faire ».
Un véritable lobby de la banalisation a contribué à l’incroyable complaisance du discours public et médiatique qui domine depuis plus de vingt ans. Cette forme de tolérance a été confortée au fil des années par une politique molle consistant à accompagner la toxicomanie plutôt qu’à la combattre. Cette démission n’est pas en phase avec le sentiment profond des citoyens qui, pour les trois quarts d’entre eux, rejettent toute forme de discours banalisateur.
Le problème de la toxicomanie s’aggrave chaque année, en particulier pour les drogues dites « douces » telles que le cannabis.
Ø    En effet, en octobre 2002, l’INSERM a publié un rapport sans appel, synthèse de 1200 études sur le cannabis et montrant que c’est une drogue particulièrement grave et vicieuse.
Ø    En juin 2003, le sénat français a publié un rapport alarmant sur la situation en France : le premier contact avec le H se fait dès 9 ans, à 15 ans près d’un jeune sur deux fume du Haschich.
Ø    En octobre 2003, L’OEDT (Observatoire Européen des Drogues et de la Toxicomanie) a fait par de sa préoccupation grandissante concernant la consommation élevée de drogues et a fustigé la France, entre autres, pour son absence de politique de prévention.
Actuellement :

Actuellement, on ne lutte pas contre la consommation, on lutte contre l’abus de drogues, on lutte contre les « risques liés à la toxicomanie ! »

Ø    D’après le dernier rapport de l’OFDT, le cannabis s’enracine, la cocaïne et l’héroïne progressent.

Ø    Plus de 200 000 jeunes de 12 à 14 ans fument un joint tous les jours !
Ø    Selon un sondage de sept 2003 réalisé sur 37700 personnes, 30 % ont fumé du Haschich juste avant de prendre le volant !
Ø    12,4 millions de Français âgés de 12 à 75 ans ont déjà consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie,
Ø    1,2 million en fument régulièrement (au moins dix fois par mois). La consommation de cannabis est surtout très forte chez les jeunes.
Ø    Plus de 550 000 usagers quotidiens
Ø    Plus de la moitié des moins de 17 ans déclarent en avoir déjà consommé, avec une expérimentation en moyenne à 15 ans.
Ø    Fumer du cannabis devient alors “normal”, au double sens d'un acte “non réfléchi”, “automatique” et d'une adhésion à la “norme” 
Ø    10% des usagers cultivent leurs propres plants de cannabis
Ø    Entre 2000 et 2005, la part des consommateurs réguliers de cannabis est en forte hausse, puisqu'elle est passée de 3,8% à 5,9%.
Ø    Le coût social estimé de la prise en charge des fumeurs de cannabis est supérieur à 919 millions d’euros en 2005…Et il est sûrement largement sous estimé.

Ø    Les dix dernières années sont également marquées par une augmentation, en volume, du nombre d'usagers de drogues et une diversification des publics qui les consomment. 

Ø    Cocaïne : Parmi les 18-44 ans, le niveau d'expérimentation triple entre 1992 et 2005, passant de 1,2% à 3,8%.
Ø    En 2005, le nombre d'expérimentateurs de cocaïne au cours de la vie était estimé à environ 1 million de personnes, pour environ 250 000 qui en ont consommé au cours de l'année.
Ø    Héroïne : on assiste à un retour préoccupant de sa consommation due au prix moyen de l’héroïne qui a chuté ces deux dernières années, et le mode de consommation par sniff qui inquiète beaucoup moins.
Ø    Les drogues par inhalation sont en progression importante : la consommation de poppers a été multipliée par 4 depuis 2003, preuve que la dépénalisation d’un produit entraîne une augmentation de sa consommation.
Ø    L’alcool est la première drogue consommée en France. Depuis peu une pratique est à la mode chez les ados : le « bindge drinking » qui consiste à se saouler le plus vite et le plus violemment possible


La ville de Paris, sous l’impulsion du conseiller de Paris et député Jean-Marie Le Guen, a voté, le 14 décembre 2009, une subvention de 26000 € afin de réaliser une expertise sur les salles de consommation des drogues pour toxicomanes, dites « Salles de consommation à moindre risque ». Ces salles permettent aux usagers de réaliser leur consommation dans de meilleures conditions d’hygiène, à savoir l’accès à un espace calme, propre, encadré par une équipe de professionnels (travailleurs sociaux, médecins, infirmiers, etc.), afin de limiter les risques ! L’objectif est de mettre en place de telles sales à Paris Lyon et Marseille… Pour commencer. Le budget primitif d’investissement serait de 200 000 € au départ et un budget de fonctionnement de 300 000 € par an et par salle…

D’autres études suggèrent que si un jeune parvenait à l’âge de 21 ans sans avoir pris de drogue, il est vraisemblable qu’il n’en prendra jamais.

Actuellement, la tendance a changé dans l’opinion publique  et toutes les études démontrent la véracité des découvertes du philosophe L. Ron hubbard Hubbard publiées dans les années 60. Les drogues sont nuisibles physiquement, mentalement et spirituellement

Grâce notamment à notre campagne d’information à grande échelle, la consommation de cannabis qui montait de façon régulière depuis plus de 20 ans s’est stabilisée en 2005 et a depuis diminuée dans des proportions non négligeables :
Le taux de consommation à  17 ans est passé de 49 % à 42 % !



Bref résumé des actions réalisées par l'association
« Non à la drogue, Oui à la Vie » en France :


Créée depuis1991 à l’initiative de l’acteur Xavier Deluc, cette campagne antidrogue fournit aux parents, aux éducateurs et aux jeunes eux-mêmes l’arme la plus puissante : la connaissance.

1.     Notre but :

Le but de l'association est d'informer et de prévenir du réel danger des drogues : notre intention n’est pas de faire peur ni d’interdire mais de dire LA VÉRITÉ sur ce que sont les drogues et quels sont leurs effets.
Pour cela nous fournissons des outils efficaces au plus grand nombre afin de leur faire comprendre et décider de façon autodéterminée de vivre une vie sans drogue.
Lorsque les jeunes savent ce qu’est véritablement la drogue et quels sont ses effets physiquement, mentalement et spirituellement, ils sont capables de prendre des décisions intelligentes à ce sujet.
Nous insistons sur le fait que nous luttons pour informer sur le danger des  drogues et non contre les risques liés à la toxicomanie : Il est essentiel de différencier "prévention" de "politique de réduction des risques" : nous ne distribuons pas des seringues propres, nous prévenons des dangers des seringues et de leur contenu ; nous n'éditons pas des brochures d'apprentissage pour "se droguer proprement" mais des brochures d'information sur les véritables dangers des drogues telles que cannabis, ecstasy, héroïne, cocaïne, crack …
Nous soutenons tout programme de réhabilitation qui n'utilise pas de drogues de substitution, tel que le programme Narconon, qui a été créé d'après les travaux du philosophe L. R. Hubbard.
2.     Nos publications :

Il a été créé au début un prospectus sous forme de bande dessinée expliquant de façon amusante les « 7 bonnes raisons de ne pas se droguer ». Il a été distribué très largement (à ce jour plus de 10 millions d'exemplaires en France).
Puis petit à petit nous avons publié des brochures particulièrement détaillées et factuelles, intitulées : La vérité sur le joint, Ecstasy : le traître démasqué, Héroïne : la mort dans le sang, Drogue et enfants : que faire ? Cocaïne et Crack : la main de la mort, Une brochure de coloriage destinée aux plus jeunes afin d’établir la communication sur ce thème au sein de la famille et favoriser la prévention dès le plus jeune âge.
Ces brochures ont été distribuées gratuitement à grande échelle grâce aux dons des scientologues : plus de 5 millions de ces brochures ont été distribués en France.

3.     Nouvelles publications :

Ø    Une série de dix nouvelles brochures a été publiée pour informer le public des véritables dangers des drogues: 
·         Drogue : la vérité sur la drogue  
·         Ecstasy, la vérité sur l'ecstasy  
·         Héroïne : la vérité sur l'héroïne  
·         Cocaïne : la vérité sur la cocaïne 
·         Haschich : la vérité sur le joint  
·         Crack : la vérité sur le crack 
·         Anti-douleurs : la vérité sur les anti-douleurs  
·         Cocaïne des enfants : la vérité sur la ritaline 
·         LSD : la vérité sur le LSD 
·         Cristal Meth : la vérité sur la Cristal Meth
·         La vérité sur l’alcool
·         La vérité sur les drogues par inhalation,
·         La vérité sur la consommation abusive de psychotropes
Ø Un kit de prévention composé d’un coffret contenant les 10 brochures précédentes et un « Manuel d’actions » expliquant par le détail toutes les actions simples qu’on peut mettre en place facilement. Il contient aussi 3 exemples de « mini-conférences » toutes prêtes particulièrement efficaces auprès des jeunes. Dans ce manuel est inclus aussi un CD contenant les fichiers de tous nos livrets afin de permettre à ceux qui le désirent, de l’imprimer pour leur propre communauté, entreprise, ville, pays …
Ø Une brochure grand format destinée aux leaders d’opinion afin de leur donner les outils pour enrayer ce fléau.
Ø Un nouveau DVD : « La vérité sur la drogue » de 1h42 mn apporte de nombreux témoignages réels classés par drogue et inclut 16 clips vidéo particulièrement percutants
Ø Enfin un manuel pédagogique destiné aux enseignants qui contient des plans de leçons pour chaque drogue, des exercices …faisant référence aux livrets et au DVD.

Le tout représente un outil complet et précieux pour rendre la prévention contre la drogue complètement efficace.

4.     Nos actions :

Voici quelques-unes de nos activités dans le but de disséminer ce message de prévention :

Ø    Stands d'information : Nous réalisons chaque semaine des stands d'information dans les grandes villes. Nous discutons beaucoup avec les jeunes et leur expliquons de nombreux points qu’ils ignorent sur la réalité du danger que représentent les drogues. Nous leur faisons prendre responsabilité : nombreux sont ceux qui prêtent serment de ne jamais prendre de drogue ou qui décident d'arrêter d'en prendre. Les témoignages que nous recevons sont souvent émouvants : des gens qui ont arrêté, des mères de famille qui ne savent plus quoi faire, des mères qui ont perdu leur enfant…

Ø    Conférences d'éducation sur les dangers réels des drogues adaptées aux publics de tous les âges et niveaux socioculturels (des enfants de 6-8 ans aux adolescents ou adultes, parents, éducateurs, policiers, enseignants, juristes, médecins...). Ces conférences sont données dans les associations, les cités universitaires, les entreprises, les clubs sportifs, les centres sociaux, les centres d’apprentis pour adultes …

Ø    Emissions de radio éducatives d’une heure ou plus pour expliquer le danger des drogues au plus grand nombre

Ø    Clips vidéo : nous avons publié tout récemment 16 clips vidéos particulièrement percutants pour informer sur le danger des drogues les plus courantes. Ils passent sur de nombreuses TVs.

Ø    Affichage sur les panneaux d’affichage libre ou payant des grandes villes proposant de recevoir et lire nos brochures d’information.

Ø    Vélos sandwich avec nos affiches et discussions avec les gens

Ø    Concerts gratuits, manifestations artistiques ou exploits sportifs

Ø    Commerçants : Cette campagne est relayée par des milliers de commerçants qui mettent les brochures à la disposition de leurs clients.

Ø    Clips audio : Nous avons réalisé des clips audio de 40 à 55 secondes particulièrement percutants qui sont passés sur de nombreuses chaînes de radio.

Ø    Discothèques : De nombreuses discothèques ont réclamé et distribué nos livrets par dizaines de milliers chaque week-end. Elles ont reçu récemment nos DVDs documentaire et les font visionner à leurs publics.

Ø    Site Internet : Notre site Internet est un outil précieux grâce auquel chacun peut télécharger gratuitement toutes nos brochures, s’informer des dates et lieux des prochains stands ou conférences, laisser un témoignage ou demander de l’aide ... www.nonaladrogue.org  Depuis le début 2010 notre site a eu 4642 visites (environ 700 visites par semaine)
Ø    Blogs : Plusieurs blogs sur lesquels nous pouvons communiquer « en temps réel » et envoyer nos communiqués de presse concernant les actions sur le terrain.
www.cestquoiladrogue.fr  Depuis le début 2010 notre blog a eu 10121 visites (environ 1500 visites par semaine)

Ø    Film : nous avons réalisé un court-métrage illustrant les problèmes liés à la consommation de cannabis intitulé « Vie de rêve » et qui a été présenté lors de la Journée Internationale de lutte contre la toxicomanie à Bruxelles en juin 2004. Ce film, tout en demi-teintes, a obtenu un grand succès et a le grand avantage d’ouvrir le débat auprès des jeunes aussi bien que des adultes.

Ø    « Concours de préventeur » : L’association a notamment lancé en 2007 un « concours de préventeur » s’adressant aux parents, enseignants, éducateurs ou adolescents mettant à la disposition de chaque participant un kit spécial de prévention qui comprend 10 brochures sur les drogues les plus courantes ainsi qu'un manuel d'activités.

Ø    Kits de prévention : Nous avons offert des milliers de kits de prévention aux leaders d’opinion

Ø    Nous rencontrons les autorités, Maires, membres du Parlement et du Sénat afin de les alerter sur la situation et les inciter à prendre des mesures efficaces contre ce fléau.

Ø    L’association a été choisie comme partenaire des Nations Unies Drogues et Crimes et nous avons joint notre logo à celui de l’UNODC lors de la Journée Mondiale contre l’abus de drogues de l’ONU le 26 juin depuis 2007.

Ø    L’association Non à la drogue, oui à la vie est aujourd’hui agrée par la Commission Européenne et nous utilisons aussi leur logo.

Ø    Invité par le célèbre footballeur Camerounais Roger Milla, l’association Non à la drogue, oui à la vie a démarré en 2007 une campagne anti drogue nationale au Cameroun.
A l’invitation des ministères de l’enseignement secondaire et supérieur, nous avons réalisé une série de conférences dans les lycées et universités et formé des personnes relais afin de pérenniser cette lutte.

Ø    Un artiste membre de l’association a créé un clip musical intitulé « Mais arrête donc de prendre du Haschisch »


L’association Non à la drogue, oui à la vie est aujourd’hui le réseau d’éducation sur les dangers de la drogue le plus important.
Elle fait partie de la Fondation pour un monde sans drogue qui est composée de 132 groupes dans 56 pays, et qui a fourni à plus de 20 millions de personnes des informations factuelles sur les véritables dangers de la drogue à travers ses livrets de prévention sur le cannabis, l’ecstasy, la cocaïne, le crack, l’héroïne, le LSD, etc...

Notre association « Non à la drogue, oui à la vie » est désormais répertoriée officiellement sur le site de l’ONU (UNODC) en tant qu’ONG et sur le site de EAD (European Action on Drug) site de la Commission Européenne : Voici les liens :


5.     En projet pour 2010 :

Renforcement de toutes nos actions
Etablissement de groupes anti drogues dans de nouvelles zones
Création d’une exposition itinérante
Marathon européen contre la drogue
Symposiums sur la drogue afin de coordonner les actions

Notre message est un message d'espoir :

La drogue n'est pas une fatalité.

Ensemble, nous pouvons y faire quelque chose !
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