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Alcool au volant : quelle prévention ?

Les bénévoles de l'Association Auvergnate de l'association Non à la drogue, oui à la vie poursuivent leurs actions de prévent...


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dimanche 22 septembre 2013

Quelles actions pour la prévention




Quelles actions pour pour la prévention ?


La MILDT Publie son plan de prévention et quelques statistiques.

Les jeunes français sont en tête de la consommation de cannabis au niveau européen, même si on observe une tendance à la baisse depuis 2005 jusqu'à 2012 des usagers réguliers âgés de 17 ans (de 10,8% à 6,5 %).

Les statistiques de 2002 à 2012 montrent que 41,5 % des jeunes de 17 ans ont déjà expérimenté l'usage du cannabis en 2011, selon les chiffres de l’enquête
 Escapad réalisée lors des journées d'appel et de préparation à la défense.

Dans le même temps la prévention en milieu scolaire voit ses crédits diminuer.

Si cette tendance à la baisse est liée à la prévention, il faudrait logiquement non pas se reposer sur ses lauriers et et baisser le crédit alloué à la prévention, mais au contraire renforcer ces actions de prévention. 

C'est justement aux enfants qu'il faut expliquer très tôt les dangers des drogues. Une documentaliste d'un collège près de Clermont nous expliquait que l'on manque de documents clairs à donner aux élèves. D'autres parents et enseignants nous remerciaient de cette action car selon eux, l'éducation devrait être faite plus tôt mais aussi bien les instituteurs que les parents eux-même manquent d'information claire. L'un d'eux nous à dit "les salles d'injection, ça ne résout pas le problème en amont et cela ne concerne qu'une toute petite partie de la population. Si on veut être efficace, il faut expliquer déjà avant le collège". 

Un autre nous a dit, en parlant de l'alcool qui est aussi un problème chez les jeunes, "le problème, c'est un problème d'éducation, d'exemple. C'est comme le tri sélectif,  il faut que tout le monde s'y mette. Ce n'est pas l'affaire que de quelques-uns. Moi je ne bois pas ou très peu mais mon fils à pris exemple avec des jeunes dont les parents sont consommateurs. Heureusement l’éducation lui a aussi appris à se modérer et il ne fait pas d'excès mais il est devenu consommateur régulier."

Ne restez pas inactifs. Vous avez de l'influence, les autres vous écoutent plus que vous le pensez ! Demandez et obtenez gratuitement des livrets à donner autour de vous et prenez ainsi part à une prévention citoyenne. 


L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie propose gratuitement une série de 13 livrets et documentaires vidéo qui conviennent très bien pour les adolescents et leurs parents. A télécharger sur ce site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.
http://fr.drugfreeworld.org/home.html


Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org 

Contact presse : Robert Galibert 
au  06 20 51 17 57  

dimanche 15 septembre 2013

Goutte, gouttelettes de pluie ...

Place des salins

Goutte gouttelettes de pluie, ma capuche se mouille ...

Ce Week-end la pluie était au rendez-vous et notre stand aussi.

Les bénévoles de Non à la drogue Auvergne ont fait leur rentrée début septembre à Clermont-Ferrand et ont repris leur stand d'information malgré le mauvais temps.

Devant la recrudescence des mauvaises nouvelles concernant le trafic de drogue, on oublie trop souvent que les mauvaises nouvelles circulent plus vite que les bonnes. On pourrait facilement se décourager et penser que l'on a aucune influence sur son environnement.

Or ce n'est pas le cas. Les jeunes vont préférentiellement se renseigner auprès de personnes proches, parents, amis en qui ils ont confiance. En fait jeunes ou pas nous agissons tous de cette manière. Donc vous avez de l'influence sur votre entourage et vos conseils ne sont jamais perdus. De même vous pouvez donner un bon ou un mauvais exemple.

En matière de drogue, la pire chose est de ne rien faire ou de ne rien dire.

Souvent on ne sait pas quoi dire. C'est la raison pour laquelle, l'association Non à la drogue, Oui à la vie sous l'égide de la Fondation pour un monde dans drogue, distribue gratuitement des livrets d'information au public. 

A Clermont-Ferrand, ces livrets sont distribués lors de stands d'information Place des Salins habituellement ou bien vous pouvez contacter l'association pas mail pour vous procurer ces livrets et/ou le matériel éducatif qui les accompagne. 

nonaladrogue.auvergne@gmail.com



L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie propose une série de 13 livrets et documentaires vidéo qui conviennent très bien pour les adolescents et leurs parents. A télécharger sur ce site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.
http://fr.drugfreeworld.org/home.html


Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org 

Contact presse : Robert Galibert 
au  06 20 51 17 57  


dimanche 1 septembre 2013

Drogue- Soyons tous des éducateurs




Pas besoin d'être une star de la télé ou du cinéma pour mourir de la drogue.


 Deux acteurs de séries télévisées connues sont décédées récemment :

"Cory Monteith le héros de la série « Glee » est décédé le 13 juillet à la suite d’un mélange fatal d’héroïne et d’alcool. Lisa Robin Kelly, qui jouait dans la série «That 70’s Show», a succombé le 14 août à une overdose."

De cela les magazines people se font l'écho.  Combien d'autres sont fauchés en pleine jeunesse par ce fléau et dont on ne parle pas dans les média ?

Comme le dit un journaliste people, les drogues restent  « faciles d’accès et socialement tolérées » dans le milieu d'Hollywood. Mais qu'en est-il de notre société ?

Tout le battage que l'on fait sur le sujet de la légalisation du cannabis ou d'autres drogues, fait en sorte de banaliser le phénomène. On s'agite autour, on en parle mais sans proposer de réelles solutions éducatives.  Cela peut donner aux jeunes l'impression que ce n'est pas aussi grave ou aussi sérieux que cela et que franchir la barrière n'est pas si grave.  

Chacun d'entre nous, à défaut d'être une star d'Hollywood, sommes le guide de quelqu'un de proche, que nous aimons et qui nous aime et nous fait confiance. 

Les personnes qui se droguent finissent par ne plus pouvoir s'assumer (intellectuellement et physiquement et deviennent des fardeaux pour leur entourage, quand elle ne meurent pas prématurément, sinon de la drogue, de maladies diverses créés par les drogues et la dénutrition sévère qui accompagne leur consommation. tout cela pour un très petit moment de "bonheur artificiel". Comme le disent les toxicos que nous rencontrons sur les stands, "il n'y a pas d’échappatoire, les produits de substitution sont pires et c'est à vie". "Si j'avais su, je n'aurai jamais commencé

Nous avons le devoir de montrer l'exemple et d'éduquer sur ce qui pourrait bien être le plus grand fléau de notre société. 

Soyons donc tous des éducateurs, grâce aux livrets de prévention publiés par la Fondation pour un Monde sans Drogue.


L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie propose une série de 13 livrets et documentaires vidéo qui conviennent très bien pour les adolescents et leurs parents. A télécharger sur ce site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.
http://fr.drugfreeworld.org/home.html


Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org 

Contact presse : Robert Galibert 
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dimanche 21 juillet 2013

Un verre spécial pour détecter la drogue du viol

Stand de prévention aux Salins à Clermont-Ferrand
300 livrets de prévention distribués en 1H00

Nos jeunes sont en danger dans les fêtes et les rave car même s'ils sont éduqués au sujet des drogues ils peuvent se voir administrer sans même le savoir, des substances très nocives.

"LGHB, pour acide gamma-hydroxybutyrique, est un anesthésique qui peut être utilisé pour traiter l'insomnie ou la dépression, mais son usage illicite en a fait une arme redoutable pour les violeurs, puisqu'il supprime toute résistance physique de leurs victimes. "

Selon le magazine terrafemina.com, un chercheur américain à développé un  verre qui se colore au contact de la substance.

 http://www.terrafemina.com/forme/sante/articles/28833-drogue-du-viol-un-verre-et-une-paille-qui-detectent-le-ghb.html



"Les enfants et les ados doivent faire l'expérience de la vie pour grandir et devenir adultes et responsables mais il est préférable que ladite expérience soit accompagnée d'un minimum d'éducation sur les sujets brûlants, sans quoi ils vont droit dans le mur et avec notre bénédiction"   déclare le responsable de l'antenne auvergnate de l'association "Non à la drogue, Oui à la vie"

Il n'est pas nécessaire de faire l'expérience de sauter d'un immeuble de 12 étages pour savoir qu'on en meurt. De même il n'est pas nécessaire de toucher aux drogues pour savoir ou non si c'est dangereux.

Un ancien toxico nous dit : 
"Çà se résume à peut-être quelques minutes de "bonheur" artificiel contre toute une vie de galère. Non merci ! Si c'était à refaire, c'est ce que je dirais. J'ai 30 ans, j'ai perdu presque toutes mes dents et j'ai de graves problèmes physiques. J'aurais aimé qu'on m'explique à l'époque."


L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie propose une série de 13 livrets et documentaires vidéo qui conviennent très bien pour les adolescents et leurs parents. A télécharger sur ce site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.
http://fr.drugfreeworld.org/home.html


Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org 

Contact presse : Robert Galibert 
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mercredi 26 juin 2013

La santé : point fort de la Journée internationale de l'ONU


Distribution Place de Jaude ce mercredi 26 joint pour la Journée Internationale de L'ONU.


Les bénévoles de l'association "Non à la drogue, Oui à la Vie" ont distribué en une heure plus de 800 livrets de prévention mettant en avant le slogan de l'ONUDC  (L'Office des Nations unies contre la drogue et la criminalité ) pour cette année : "Votre point fort c'est votre santé, pas besoin des drogues pour s'éclater".

Plus d'un adolescent sur cinq a fumé un joint au collège et il y aurait en France plus d'un million de consommateurs réguliers de cannabis (OFDT).


Le cannabis a augmenté en nocivité depuis les années 70 car la molécule active, THC est trouvé en plus grande concentration à l'heure actuelle. Une enquête portant sur 45000 jeunes pendant 15 ans a permis de mettre en évidence que la consommation régulière de cannabis multipliait par six le risque de schizophrénie. 

"Plusieurs études ont également montré que la consommation de cannabis augmentait sensiblement les risques de maladies cardio-vasculaires (AVC ou infarctus). Une autre étude de grande ampleur publiée en 2011 et portant sur 50 000 personnes a notamment montré que la consommation de cannabis multipliait par cinq le risque d'infarctus."

L'ONUDC est préoccupé par la montée en puissance des nouvelle drogues ou nouvelles substances psychoactives comme on les appelle (en abrégé NSP) de 50 % en deux ans et demi.

Ces drogues de synthèse très dangereuse peuvent causer des dommages irréparable en une seule prise. Il est quasiment impossible de les répertorier toutes. Il s'en fabrique de nouvelles chaque jour. L'ONU précise "qu'entre fin 2009 et mi-1012, leur nombre est passé de 166 à 251, ce qui est plus que le nombre de substances connues placées sous contrôle international". AFP 26 juin 2013 10h29

Pour obtenir des livrets de prévention et des documentaires, ou des kits éducatifs comprenant des livrets des documentaires video et des plans de leçon, adressez-vous à nonaladrogue@gmail.com
Ou bien faites votre demande directement sur le site de la fondation internationale pour un monde sans drogues.http://fr.drugfreeworld.org/home.html

Contact presse : Robert Galibert au  06 20 51 17 57  

dimanche 23 juin 2013

Drogue-ne jamais cesser d'informer


Stand d'information aux Salins, Clermont-Ferrand, le 23 juin 2013



"Ne jamais cesser d'informer, c'est important" nous a dit un parent lors de notre dernière action de prévention. 

Cette personne nous a dit qu'elle avait lu le livret et que c'était très bien expliqué. "Nous les parents avons besoin d'information claire et ces livrets disent réellement ce qui est important : les effets sur soi qui finissent à long terme par détruire l'organisme, et les effets sur les autres qui sont également très graves. Il n'y a pas de drogue "récréative", elle est toujours destructrice que ce soit de l'organisme ou de la psyché. J'ai eu à travailler avec des personnes qui fumaient régulièrement ou moins régulièrement du cannabis. Si elles ne s'en rendaient pas compte, elles fonctionnaient au ralenti par rapport à leur entourage et il y avait de quoi s'arracher les cheveux en ce qui concernait la compréhension des tâches à effectuer. Pas de précision, toujours quelque chose de travers et du je m'en foutisme."

Nous avons eu plusieurs autre encouragements et des personnes sont reparties avec plusieurs livrets à donner autour d'elles.


L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie propose une série de 13 livrets et documentaires vidéo qui conviennent très bien pour les adolescents et leurs parents. A télécharger sur ce site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.
http://fr.drugfreeworld.org/home.html


Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org 

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samedi 22 juin 2013

Dans la vie ton point fort c'est la santé, pas la drogue pour te défoncer



Faire de la santé le nouveau point fort de votre vie ,
Pas besoin de drogues pour s'éclater.


Tel est le slogan l'UNDOC, (Comité des Nations Unies contre la Drogue et le Crime) pour cette année 2013. 



D'après une dépèche de l'AFP en provenance de l'ONUDC (traduction française de UNDOC) :

"L'Office des Nations unies contre la drogue et la criminalité (ONUDC) s'est inquiété mercredi de la hausse des "nouvelles substances psychoactives" (NSP) de près de 50% en deux ans et demi, alors que la consommation globale de drogues traditionnelles s'est stabilisée"

"Ce sont aujourd'hui les nouvelles substances psychoactives qui posent des défis", a prévenu l'ONUDC dans son rapport mondial annuel sur les drogues, présenté à Vienne dans le cadre de la journée internationale de lutte contre les drogues.

"Vendues comme euphorisants légaux et drogues de synthèse, les NSP prolifèrent à un rythme sans précédent et posent des défis de santé publique inédits", a ajouté l'organisation basée à Vienne. Entre fin 2009 et mi-2012, leur nombre est passé de 166 à 251, dépassant pour la première fois le nombre de substances placées sous contrôle international (234), a estimé l'ONUDC.

En Europe, où le nombre de NSP est passé de 14 en 2005 à 236 en 2012, 75% de leur consommation se concentrent dans cinq grands pays: le Royaume-Uni, suivi de la Pologne, la France, l'Allemagne et l'Espagne. Au niveau mondial, le cannabis reste la drogue illégale la plus consommée, avec 180 millions de consommateurs selon les dernières estimations dont dispose l'ONUDC. Cela correspond à 3,9% de la population âgée de 15 à 64 ans"


"Voilà les chiffres et il faut les connaître mais tout cela pourrait sembler assez désepéré" commente le porte parole de l'association Non à la Drogue en Auvergne. "Nous savons pourtant que c'est en grande partie un problème d'éducation". "C'est vrai qu'il y en aura toujours pour proposer une substance ou une autre. Vouloir écoper la barque si le fond est troué ne sert pas à grand chose. La seule sécurité réside dans la connaissance et dans la compétence que l'on peut acquérir par une bonne éducation.
C'est à nous, adultes, grand-parents, parents, frères, soeurs, enseignants, de combler ce trou dans l'éducation en faisant réellement comprendre à nos jeunes qu'une drogue, quelle qu'elle soit, est avant tout un poison organique, peu importe comment le dealer ou le copain qui lui propose peut lui présenter. En lui faisant comprendre les faits et les effets de ces substances au cours du temps, sur son organisme et sur son psychisme et aussi sur son environnement, car on ne vit pas seul, on pourra leur donner la capacité de dire NON."  
L'association prévoit plusieurs manifestations, y compris le 26 juin, à Clemont-Ferrand, pour faire passer le message.



jeudi 13 juin 2013

Bientôt les vacances - Jeunes conducteurs attention

Le temps des vacances arrive et pour beaucoup d'entre nous, nous partirons en voiture.
Beaucoup de jeunes aussi auront passé leur permis de conduire et prendront la route pour la première fois.





L'on sait que ce sont les jeunes conducteurs les premières victimes de la route et la Commission Nationale pour la Sécurité Routière va mener une étude en décembre concernant les facteurs accidentogènes que sont les produits stupéfiants et l'alcool qui accroissent encore le risque de ces autres  facteurs que sont la vitesse et l'inattention dans le but de diminuer les statistiques des décès au volant au-dessous de 2000 par an.
L'alcool et les drogues amènent à évaluer incorrectement les distances et le temps et augmentent le temps de réaction ou donnent un faux sentiment d'être plus alerte (pour certains produits). La combinaison de l'alcool et des drogues, extrêmement dangereux,  accroît encore ces risques comme l'a démontré le dernier fait divers en date près de Dijon ou un jeune de 20 ans, sous l'emprise de l'alcool et du cannabis, a fini sa course dans un poteau, accident heureusement sans gravité sauf pour sa voiture. http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/06/05/accident-alcool-et-drogue


L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie propose une série de 13 livrets et documentaires vidéo qui conviennent très bien pour les adolescents et leurs parents. A télécharger sur ce site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.
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Hashish et alcool - drame évité de justesse

Distribution de livrets de prévention Place de Jaude à Clermont-Ferrand


On sait que l'alcool et le cannabis ne font pas bon ménage. Le jeune conducteur près de Dijon, dimanche dernier, 9 juin, à eu beaucoup de chance de ne pas se tuer ou de tuer quelqu'un d'autre.

Il aurait été contrôlé avec 0,90 g d'alcool et positif aux stupéfiants. De plus du haschish a été retrouvé dans sa voiture.

Le haschish est dangereux pour celui qui le fume comme pour son entourage :

En 1986, la navette spatiale Challenger a explosé et fait 7 morts. L'enquête à démontré que la catastrophe était en partie due aux techniciens. Or il a été prouvé que ceux-ci étaient des fumeurs de joint. Des expériences menées par l'US Navy sur des simulateurs de vols ont montré que 24 heures après avoir fumé un joint, des pilotes brevetés ont commis de graves erreurs de pilotage. Aucun n'était capable d'aligner l'avion sur la piste d'atterrissage. L'un d'eux a même atterri 5 mètres en dehors. Pourtant tous se déclaraient en pleine forme.

Les bénévoles de Non à la Drogue Auvergne se sont mobilisés ce mardi pour distribuer place de Jaude des centaines de livrets pour éduquer le public au sujet des effets des drogues.

Le livret sur le hashich peut être consulté ici et téléchargé gratuitement :





L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie propose une série de 13 livrets et documentaires vidéo qui conviennent très bien pour les adolescents et leurs parents. A télécharger sur ce site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.
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jeudi 6 juin 2013

Drogue-Interdiction et répression inefficaces ?




C'est là la conclusion de France Info alors que l'OFDT nous donne les dernières statistiques.


"Tabac, alcool, drogues : malgré les différentes politiques de restriction ou d'interdiction, les Français restent des consommateurs importants. C'est ce qui ressort d'un rapport publié aujourd'hui par l'Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies. Et de tous les pays européens, la France est celui qui a le niveau le plus élevé de consommation chez les jeunes adultes et les jeunes scolarisés."


L'association Non à la Drogue à une position claire à ce sujet : Ni les interdictions, ni la répression ne sont des outils qui vont résoudre le problème à long terme, s'ils ne sont pas accompagnés d'une politique de véritable éducation sur le sujet.

Vers quelle société voulons-nous aller ?

Il est plus de temps de faire quelque chose d'efficace au sujet de la drogue. Le trafic entraîne inévitablement de la violence et de l'insécurité comme nous l'avons vu avec les derniers faits divers en date. 

Il est bien évident que ceux qui ont le plus intérêt à ce que ce trafic se poursuive vont s'arranger pour continuer à entretenir la confusion au sujet des drogues. La confusion se résout en affirmant avec force et persévérance les faits, au sujet de la drogue. 

A l'heure actuelle, il semble ne pas y avoir de solution à ce problème, à cause de cette confusion entretenue.

Il semble que la société doive s'enfoncer de plus en plus vers le chaos et la violence, une insécurité créée par les trafics, avec davantage de répression qui entraîne plus de violence, qui entraîne plus de répression.

Il est temps de s'interroger et de se demander si c'est ce que nous voulons. Si nous laissons encore la situation se dégrader, que va-t-il se passer ? 

Faire quelque chose d'efficace , éducation signifie compréhension :

Une réduction de la demande entraînera une réduction du trafic. C'est la loi de l'offre et de la demande. 

Le porte parole de l'antenne auvergnate insiste sur le fait qu'éducation signifie compréhension et que pour instiller la compréhension il faut que les enseignants, les éducateurs et les parents s'informent également afin de relayer le même message et non des messages contradictoires qui ne font qu'accentuer la confusion ambiante existante au sujet de la drogue et autres toxiques.

Outre le fait de montrer un bon exemple, les adultes doivent être éduqués sur le sujet eux-mêmes. Ensuite, il est reconnu que répéter le message sous plusieurs formes permet de mieux attirer l'attention et de mieux familiariser quelqu'un avec un sujet. 

A ce propos l'association Non à la drogue associée à la Fondation pour un monde sans drogue publie des matériaux gratuits, sur simple demande par e-mail à l'association, ou par internet sur le site de la fondation. http://fr.drugfreeworld.org/home.html


Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association  :
Contact presse : Robert Galibert au  06 20 51 17 57  

lundi 27 mai 2013

Essone : de la Cocaïne trouvée dans la cours d'une école



De la Cocaïne retrouvée dans la cours d'une école. Une information judiciaire a été ouverte par le Parquet d'Evry. 

C'est l'info donnée par le site http://www.cabinetsavocats.com/articles/details/7973/cocaine-retrouvee-dans-cours-d-ecole.html

Ce seraient des dealers qui auraient des caches près de l'école primaire.
Ce même site révèle qu'une fillette aurait trouvé une seringue dans la cours de son école quelques temps auparavant à Sevran.

Ceci administre la preuve, si besoin était, que nos enfants, même en primaire ne sont pas à l'abris de consommer de la drogue même par accident. Par contre s'ils sont éduqués sur le sujet, dès la primaire, il est plus que probable qu'ils n'y toucheront pas.

Il est important d'éduquer les parents car ce sont eux qui éduquent leurs enfants. Les enseignants devraient aussi être informés car ils peuvent répéter le message et sont aussi des leaders d'opinion pour les enfants. Qui n'a jamais entendu face à un argument des parents, "oui mais la maîtresse à dit .."

Il est donc important qu'à la fois les parents et les enseignants donnent le même message et expliquent encore et encore les effets des drogues. Il ne faut pas seulement dire que c'est dangereux ou interdit, il faut expliquer pourquoi et dire aussi à quoi cela ressemble pour pouvoir le reconnaître quand on en voit.

Nos bénévoles font des stands de prévention  toutes les semaines, comme ci-contre à Clermont-Ferrand. Ils distribuent des livrets de préventon

Les 13 livrets sont également disponibles sur ce site et sur le site de la Fondation pour un Monde sans drogue.

Il sont accessibles gratuitement au téléchargement ainsi que des documentaires vidéo et des supports de cours qui les accompagnent.

http://fr.drugfreeworld.org/home.html

Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet :www.nonaladrogue.org Contact presse : Robert Galibert au             06 20 51 17 57    

mercredi 22 mai 2013

Drogues de synthèse - cris d'alarme

Manifestation de prévention à Clermont-Ferrand
Ce dimanche 19 mai 2013 les bénévoles de l'association Non à la drogue manifestaient 
pour attirer l'attention du public sur les dangers des drogues. Plus de 600 livrets de prévention ont été distribués.

Les drogues de synthèse menacent désormais nos familles par le biais d'internet. Il est désormais possible de commander ces substances comme on commande des chaussures ou le dernier smartphone.

"Depuis début 2013, les centres de soin en addictologie de Lyon ont constaté de nouvelles pratiques chez les usagers. De nouvelles molécules comme la méphédrone, imitant les drogues classiques, sont les it-drugs du moment. Des stupéfiants à noms fantaisistes (MXE, NRG-1) qui se commandent sur Internet, à un prix défiant toute concurrence, que l’on reçoit d’Asie par voie postale, pas encore illégaux car pas encore identifiés par les pouvoirs publics. "

http://www.tribunedelyon.fr/index.php?actualite/societe/38639-drogues-de-synthese-les-usagers-n-ont-pas-encore-pris-conscience-des-problemes-avec-ces-produits-

Antenne2 a récemment consacré une émission d'envoyé spécial à ce problème préoccupant.

Les usagers ne savent pas vraiment ce qu'ils consomment. ces drogues changent en effet de composition constamment  et sont extrêmement dangereuses.

"Ces nouvelles substances changent de composition moléculaire tous les 6 mois et prennent de vitesse les services en charge de classer les nouveaux stupéfiants, ce qui rend difficile leur interception par les douanes françaises. Aux USA, l’an dernier, près de 15000 admissions aux urgences ont été liées aux nouvelles drogues de synthèse et des dizaines d’adolescents sont morts en voulant les essayer."

Parmi les drogues de synthèse on connaissait les amphétamines, le métamphétamines, le LSD, l'Ecstasy. Mais actuellement de nouvelles drogues se développent tous les jours en laboratoire. Elle sont synthétisées à partir de produits chimiques détournés de leur usage légal. Récemment la brigade des stups à démantelé un labo à Brest.

Devant cette déferlante, la répression est rendu extrêmement difficile car nos addos et nos concitoyens peuvent être atteints et tentés directement à l'intérieur de leur foyer.

La seule façon de vraiment faire la différence est d'éduquer le plus de monde possible sur le sujet.

La Fondation pour un Monde sans drogue à publié une série de 13 livrets la vérité sur la drogue. Quelques drogues de synthèse les plus connues y sont abordées. Il est impossible de les aborder toutes étant donné leur prolifération. Mais ce qui est certain c'est qu'elle sont toutes des poisons violents.

Vous pouvez télécharger les livrets suivants :










Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association :

Contact presse : Robert Galibert au  06 20 51 17 57  

lundi 13 mai 2013

Prévention drogue et famille - Journée internationale des familles


Les bénévoles de Non à la drogue, Oui à la Vie ont manifesté dimanche pour une action de prévention dans le cadre de la promotion de la journée internationale des familles

Le 20 septembre 1993, l'Assemblée générale des nations unies a décidé que le 15 mai de chaque année marquerait la Journée internationale des familles (résolution 47/237).

Lorsqu'il s'agit de problème de drogue, ce sont les familles qui sont touchées en premier. 

Une mère à témoigné en larmes à notre stand à quel point sa vie était devenue un enfer depuis que son fils se droguait : "il me menace, il est devenu violent,  je ne le reconnais plus"

Un éducateur rencontré au stand nous à déclaré que dans le domaine de la lutte contre ce fléau social qu'est la drogue, les options venaient à manquer. 

Pourtant il est possible de d'opérer un changement et c'est avec cette conviction que nos bénévoles ont distribué 700 brochures de prévention "La vérité sur la drogue".


L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie propose une série de 13 livrets et documentaires vidéo qui conviennent très bien pour les adolescents et leurs parents. A télécharger sur ce site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.
http://fr.drugfreeworld.org/home.html


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mercredi 8 mai 2013

Dépendance à l'héroine - un vaccin ?




Un laboratoire travaille sur un vaccin contre la dépendance à l'héroïne

C'est évidemment très louable et bravo si cela abouti. 

Espérons que cela ne sera pas encore une substance dangereuse pour la santé à d'autres points de vue, comme le sont les drogues de substitution développées au cours du siècle dernier, soit-disant sans danger au début et se révélant encore plus dangereuses et addictives que le produit d'origine au point d'être à son tour classée 30 ans plus tard,  et après avoir fait beaucoup de dégât, dans les substances illégales ou strictement réglementées en fin de compte. Ce n'est pas encore le cas pour la méthadone, le subutex et autres drogues de synthèse pharmaceutique comme cela l'a été pour l'héroïne, et la morphine, mais gageons qu'avec le trafic illégal qui se développe autour de celles-ci, cela sera le cas dans quelques dizaines d'années, espérons moins.

Le meilleur remède étant celui de ne jamais commencer et le meilleur vaccin celui de  l'éducation dès le plus jeune âge, avec des rappels de temps en temps à tous les stages de l'évolution de l'enfant. 

En effet, la drogue il faut en parler et ce ne doit surtout pas être un tabou. 

Non à la Drogue, Oui à la Vie, distribue des livrets de prévention à cet effet, traitant de tous les types de drogue, expliquant les effets. On peut les consulter et les télécharger gratuitement sur ce site et sur le site de la Fondation pour un Monde sans drogue http://fr.drugfreeworld.org/drugfacts/heroin.html

Des Kits pour éducateurs sont également disponibles sur ces site, gratuitement et sur simple demande. Ils comprennent, des plans de leçon pour chaque livret ainsi que des questionnaires, des lots de livrets et des documentaires video.


Pour information sur l'héroine :

extraits :

L’HÉROÏNE : QU’EST-CE QUE C’EST ?


L’héroïne est une drogue illégale qui crée une forte dépendance. Elle est consommée par des millions de toxicomanes à travers le monde, qui sont incapables de surmonter cette dépendance dévastatrice et quotidienne, sachant que s’ils arrêtent d’en prendre, ils devront subir un horrible sevrage.
L’héroïne (tout comme l’opium et la morphine) est fabriquée à partir de la résine de pavot. Laiteux, l’opium sous forme de sève est tout d’abord extrait de la cosse de la fleur de pavot. Cet opium est raffiné pour fabriquer de la morphine, puis à nouveau pour obtenir différentes formes d’héroïne.
La plupart du temps, l’héroïne est injectée, créant des risques additionnels pour le consommateur, qui doit faire face à une éventuelle contamination par le virus du SIDA ou par d’autres infections, en plus des douleurs liées à la dépendance.

« L’héroïne m’a coupée du monde. Mes parents m’ont virée. Mes copains et mes frères ne voulaient plus me voir. J’étais toute seule. » Suzanne

Photographie : istock.com/Peeter Viisimaa
Photographie : istock.com/Peeter Viisimaa

LES ORIGINES DE L’HÉROÏNE

L’héroïne a été fabriquée pour la première fois en 1898 par la compagnie pharmaceutique allemande Bayer. Elle a été commercialisée pour traiter la tuberculose et remédier à une dépendance vis-à-vis de la morphine.

UN CERCLE VICIEUX

Dès 1850, la consommation d’opium est un problème majeur aux États Unis. La « solution » est alors de fournir aux toxicomanes un substitut moins puissant et supposé « sans risque de dépendance » : la morphine. Mais la dépendance à la morphine se révèle un problème bien plus important que la dépendance à l’opium.
Tout comme pour l’opium, on propose alors de remplacer la morphine par l’héroïne, un « substitut soi-disant inoffensif » qui se révèle en fait pire que la morphine. L’héroïne, à son tour, va entraîner l’apparition d’un substitut « sans dépendance », aujourd’hui connu sous le nom de méthadone. Développée en 1937 par des scientifiques allemands dans le cadre de leur recherche de nouveaux antidouleurs pour la chirurgie, elle est exportée aux États-Unis sous le nom de « Dolophine » en 1947. Cette drogue, rebaptisée méthadone, va très vite être largement utilisée comme traitement de substitution à l’héroïne. Malheureusement, l’expérience montre qu’elle crée une dépendance encore plus forte.
Vers la fin des années 1990, le taux de mortalité estimé des héroïnomanes était vingt fois plus élevé que celui du reste de la population.

Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association  :
Contact presse : Robert Galibert au  06 20 51 17 57  

mardi 30 avril 2013

Drogues- Bientôt du dépistage grâce à l'haleine


Il serait possible prochainement de détecter grâce à l'haleine, une grande variété de drogues et de médicaments. Par contre reste à savoir si ces tests développés par des scientifiques du Karolina Institutet, en Suède, sont fiables. En France, dès 2010, L'académie de médecine contestait la fiabilité de tels tests. Les canadiens semblent plus positifs.

« Considérant que les échantillons ont été pris 24 heures après la prise de drogue, on a été surpris de constater qu'il y avait encore des traces bien détectables de plusieurs stupéfiants connus », lance l'auteur de l'étude, Olof Beck.
  • Lien vers les articles : 
http://fr.canoe.ca/sante/archives/2013/04/20130430-153754.html
http://www.psychomedia.qc.ca/conduite-automobile/2013-03-30/detection-par-l-haleine-de-drogues-et-medicaments
http://www.slate.fr/life/71805/alcootests-drogues-souffle
  • Pour les anglophones : interview du professeur Beck :
http://wfad.se/broadcast/38-broadcast/678-interview-with-olof-beck-professor-in-analytical-toxicology-and-pharmacology-at-the-karolinska-institute-sweden-

Cependant, si ces recherchent donnent un espoir concernant l'aspect répressif, on ne répétera jamais assez que l'éducation est le meilleur outil pour amener des générations entières à comprendre à quel point la drogue est destructrice et que le meilleur moyen de ne pas devenir dépendant est de ne jamais commencer. Quand on a la connaissance et la certitude on peut y puiser le courage de dire "NON" aux "copains" qui voudraient que vous essayiez quand même au moins une fois : "sinon t'as pas vécu", "t'es pas dans le coup" ou  "tu dois faire ta propre expérience"

L'association Non à la Drogue, Oui à la Vie propose une série de 13 livrets et documentaires vidéo qui conviennent très bien pour les adolescents et leurs parents. A télécharger sur ce site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.

http://fr.drugfreeworld.org/home.html



Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association ou pour télécharger ou recevoir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org 

Contact presse : Robert Galibert au  06 20 51 17 57    

mercredi 24 avril 2013

Drogue - Faut-il interdire les Hortensias !

Faut-il interdire les hortensias !



Il semblerait que les Hortensias soient utilisés depuis quelques années en Allemagne par certains jeunes pour remplacer le joint.

Le problème est que l'Hortensia dégage en brûlant une substance appelée acide Cianhydrique, qui sous un autre nom est le gaz utilisé par les Nazis dans les chambres à gaz !
On risque la mort par étouffement !

Alors faut-il interdire les Hortensias !

Bien sûr que non. Au-delà du sensationnel, il faut donner les informations exactes sur les risques et s'assurer qu'ils soient parfaitement compris des jeunes exposés à ce phénomène de mode.

Les bénévoles de l'association, Non à la Drogue, Oui à la Vie continuent à délivrer cette information tous les dimanches en distribuant les livrets de prévention.

Avec les nouvelles drogues découvertes chaque semaine (il s'en découvre plus de 60 nouvelles par an), il est bien sûr impossible de les traiter toutes. Mais ce qui est important, c'est de faire passer le message qu'il est possible de s'éclater sans drogue, que les parents doivent s'informer et donner le bon exemple et qu'il faut en parler en relayant des données factuelles sur le sujet. 

La répétition du message contenu dans le livret la Vérité sur la Drogue, à la maison, à l'école, au centre de loisir, etc. peut changer les choses.

Ce livret explique entre autre que toute drogue, est avant tout un poison organique. Lorsque l'on consomme un drogue il faut être conscient que l'on s'empoisonne volontairement avec des conséquences plus ou moins graves à court et long terme.




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