INSOLITE • Pour lutter contre le cannabis, sniffez !
Tel est le titre de l'article dans Courrier international cette semaine.
En effet une association anglaise envoie à 210 000 foyers des cartes à gratter au parfum de cannabis pour lutter contre le trafic. Elle sont supposé aider à identifier les cultures clandestines qui fleurissent dans les zones résidentielles et coûtent des centaines de millions d'euros en en terme de branchements sauvages sur les circuits des compagnies d’électricité et d'eau.
Lire ici le reste de l'article : http://www.courrierinternational.com/chronique/2013/04/02/pour-lutter-contre-le-cannabis-sniffez
Le reste de l'article donne d'autres moyens de dépister ses voisins s'ils sont portés sur la culture du cannabis."C'est une façon d'attirer l'attention sur le problème et de responsabiliser les citoyens sur le sujet mais la lutte est vaine si on ne mets pas également l'accent sur l'éducation", estime le responsable de l'antenne auvergnate de "Non à la drogue"
Pour leur part, les bénévoles de l'association Non à la Drogue ont monté leur stand de prévention comme tous les dimanches aux marché aux puces de Clermont-Ferrand où ils ont distribué plus de 300 livrets "la vérité sur la drogue". Il est de la plus grande importance de sensibiliser les plus jeunes possible aux dangers des drogues. On trouve des drogues de plus en plus violentes dans la rue. Ils sont de plus en plus exposés.
Un jeune nous rapportait que l'on écrase des comprimés des médicaments psychiatriques pour les sniffer comme la cocaïne. Il s'agissait en l’occurrence de produits comme le Depakine un psychotrope vendu sur ordonnance. Ces produits, comme également la Ritaline, prescrits pour l'hyperactivité des enfants, sont toxiques au même titre que la cocaïne. C'est la raison pour laquelle des trafics illégaux se développent autour de médicaments vendus sous ordonnance.
Et ne croyez pas que cela n'arrive pas à Clermont-Ferrand !
La même chose s'était produite pour l'héroïne alors qu'elle n'était qu'un médicament élaboré par les labos pharmaceutiques pour sevrer de la morphine, et qui était soi-disant sans danger. Elle s'est retrouvée dans la rue et c'est devenu un problème de santé publique.
Lire cet article : http://saynotodrugs-auvergne.skyrock.com/3149353246-Stupefiant-ce-trafic-illegal-de-produits-de-substitution.html
Le message que nous voulons faire passer est celui-ci, aidons nos jeunes à trouver la vérité sur la drogue avant que les dealers ne leurs mettent la main dessus.
Si vous voulez aider, vous pouvez nous contacter à l'adresse mail ci-dessous. Vous pouvez participer à nos stand d'information et à nos actions de distribution.
Vous trouverez les supports sur notre site ou sur le site de la fondation pour un monde sans drogue.
http://fr.drugfreeworld.org/home.html
Contact presse : Robert Galibert au 06 20 51 17 57
nonaladrogue.auvergne@gmail.com ou aussi http://cestquoiladrogue.fr